Fiche technique :
- Date de sortie : 2019-2022
- De : Ricky Gervais
- Avec : Ricky Gervais, Tom Basden, Kerry Godliman
- Genre : Comédie, Drame
- Durée : 3 saisons, épisodes de 30 min
Notre avis sur la série AFTER LIVE
After Life est une comédie dramatique d’humour noir écrit, réalisée et interprétée par Ricki Gervais.
Cette série compte trois saisons et est disponible dans son intégralité sur Netflix. La troisième saison donne une conclusion définitive à la série et clairement si j’avais pu voir cette troisième saison en 2022 elle aurait été dans mon top série TV.
Le Pitch :
Tony vient de perdre sa femme décédée d’un cancer. Au bord du suicide il décide de rester en vie pour punir le monde de ses malheurs en étant odieux avec tous les gens qui l’entourent. Il estime que son « superpouvoir » c’est de se foutre de tout et de n’avoir jamais peur des conséquences vu qu’au pire, il peut se suicider car il n’attend plus rien de la vie. Pourtant, que cela soit par des vidéos laissées par sa femme, ou par son entourage qui l’aide malgré tout, il va comprendre que sa vie a un tout autre but.
Une pépite tout simplement :
Soyons clair, si vous êtes autant émotif que moi vous aller pleurer à chaque épisode. Cette série est à la fois génialement écrite autant dans son humour très anglais et très corrosif que dans son analyse du genre humain. Elle réussit à prendre le pire en nous pour nous démontrer que l’humanité est belle et que la vie vaut le coup d’être vécue. Une telle finesse d’écriture se fait rare, même si certaines personnes peuvent reprocher un humour anglais un peu difficile. En seulement trois petites saisons, de 6 épisodes de 27 mn environ, nous nous attachons aux personnages comme si la série avait duré 10 ans, et pour certains personnages on s’étonne même de les aimer.
Le final (qui ne sera pas spoilé ici) est touchant, puissant et délivre un massage d’amour comme peu d’œuvre y arrivent.
En conclusion :
Ne passez pas à coté de cette œuvre, elle vous apportera un réconfort et une belle vision de la vie comme peu d’œuvre le font.
Par Grégory Caumes.